vendredi 30 août 2013

Arrêté préfectoral No 2013210-0005

Bonjour à tout le monde,

Un petit mot pour annoncer le répit dont nous disposons de 6 mois, par l’arrêté préfectoral No 2013210-0005 du 1er Août 2013, pour une prolongation du délai d’instruction du dossier déposé par la Société Orbello. Cette trêve va nous permettre de continuer à nous organiser au sein de l’association, informer et alerter sur notre mobilisation pour la sauvegarde de la Forêt de Courcelles et de ses habitants, à 2 ou 4 pattes, ou volant….

Tous nos efforts ne sont donc pas vains, nos arguments en faveur

•    de la protection de la forêt gérée PEFC et de la biodiversité existante, aujourd’hui  essentielle pour les générations futures, (la diversité avifaunistique apparaît assez élevée pour un site de cette superficie, P14 fascicule 3 dossier enquête publique, les mares constituent un lieu de reproduction pour les espèces d’amphibiens recensés, dont le triton marbré et la grenouille agile,  qui trouvent dans les secteurs boisés alentours des milieux favorables à la phase terrestre de leur cycle de vie, alors si tout est rasé autour, couic les amphibiens !, à moins qu’ils ne trouvent la rampe d’accès prévue !!), même des chauves souris sont observées chez les riverains de ce projet, n’en déplaise aux mauvais observateurs de la nature,







•    de la sécurité routière

•    des risques d’incendie en zone rouge liés à une activité industrielle au cœur d’une forêt de pins
vont donc peut-être permettre l’émergence d’une autre réflexion que les informations contenues dans les dossiers de la Société Orbello, financés et/ou rédigés par cette même société, dont l’objectivité ne peut être garantie.



Continuons à défendre nos arguments de citoyens qui connaissent bien mieux leur environnement qu’un quelconque dossier écrit par des personnes dont le quotidien et le cadre de vie n’est pas remis en cause par un projet sans aucun sens.



PS : Que vont-ils devenir ? Ajoutons toutes les espèces non recensées, car en 2 jours, il semble difficile d’élaborer des listes exhaustives !


extraits du facicule 3


mardi 20 août 2013

Overshoot Day

mardi 20 aout 2013

En bon terrien , aujourd'hui nous venons de consommer en 232 jours toutes les ressources que la planète peut produire en 1 ans. Triste journée !!!



le problème , c'est qu'en  2003, cette date était le 22 Septembre. La tendance est claire: le jour du dépassement arrive chaque année un peu plus tôt.





Global Footprint Network fournit un bilan comptable de la demande de l’humanité en ressources et services naturels comparée à la capacité de la planète à les fournir. Les résultats sont sans appel: l’humanité épuise en huit mois la capacité annuelle de notre planète à reproduire les ressources naturelles que nous consommons et à absorber le CO2 que nous émettons.

De plus les risques de pollution (chimique, radioactive, etc...) ne sont pas comptabilisés dans cette étude, le président de GFN prévient : "La dégradation des milieux naturels se traduit inévitablement par une baisse des surfaces productives et notre dette, qui s'alourdit, condamne les générations futures."

 

Les conséquences de la surconsommation écologique 

D’après les calculs effectués par Global Footprint Network, la demande de l’humanité en ressources et services écologiques exigerait une fois et demi la capacité de la Terre pour être satisfaite. Selon ces même calculs, nous aurons besoin de deux planètes d’ici 2050 si les tendances actuelles persistent. 

La pression des pays riches est disproportionnée. En tête du classement, le Qatar a fini par dépasser le Koweït et les Emirats arabes unis, avec une consommation de 11,68 hag/hab. Il faudrait cinq planètes uniquement pour absorber la production qatarie de C02.

Au total, sur les 149 pays observés, 60 sont responsables de la dette. En 23e position, figure la France, dont la biocapacité a reculé de 20 % entre 2005 et 2008. Désormais, ses besoins dépassent de 70 % les ressources disponibles. C'est bien au-delà de la moyenne mondiale. Le déficit s'est creusé très vite : le score hexagonal s'élevait à 44 % en 1995, à 54 % en 2005.

Excédentaire, la Chine se place au 73e rang du classement. Le géant asiatique est le premier émetteur mondial de gaz carbonique par tonne métrique, mais son empreinte écologique est relativisée une fois rapportée au nombre d'habitants.

Le fait que l’on consomme les ressource naturelles plus rapidement que la Terre n’est capable de les renouveler est équivalent à avoir des dépenses qui sont en permanence plus élevées que le revenu. Les conséquences de ce cet endettement écologique sont de plus en plus évidentes.

Le changement climatique par exemple est un produit d’une accumulation des gaz à effet de serre plus rapide que la capacité d’absorption des forêts et des océans. Il y a aussi d’autres exemples tels que la déforestation, le recul de la biodiversité,  la surpêche, ou l’augmentation du prix des matières premières essentielles. Les crises écologiques que nous vivons sont des symptômes du fait que l’humanité consomme plus que notre planète n’est capable d’offrir.

et cela va continuer !!!

A la longue liste des matériaux naturels employés par les activités humaines qu'on annonce régulièrement en voie de disparition, pétrole, gaz, eau douce, lithium, terres rares, uranium ou phosphore, il faut ajouter désormais une substance inattendue : le sable !

Longtemps prélevé dans des carrières et dans des rivières aujourd'hui vidées, le sable est maintenant aspiré au fond des mers et des océans par plusieurs milliers de dragues marines dont les plus puissantes prélèvent jusqu'à 400.000 m3 par jour. Le résultat est édifiant : disparition de certains écosystèmes marins, recul des plages, activité de pêcheurs menacée, baisse du tourisme, corruption, déplacements de populations... la liste est longue des méfaits de cette surexploitation silencieuse.

Partout dans le monde, la poussée démographique et la spéculation immobilière font des ravages. Au Maroc, 40% du sable utilisé est volé, principalement sur les plages... Les Emirats du golfe, eux, ne peuvent pas utiliser le sable des déserts voisins car celui-ci est trop rond et inutilisable pour la fabrication du béton. Paradoxalement, ils sont donc contraints d'importer des millions de tonnes de sable marin, notamment depuis l'Australie. Le projet "The world" a ainsi été un gâchis de matériau faramineux... En Espagne, la folie de la construction a également gâché des millions de tonnes de sable marin... En Indonésie, ce sont 25 iles qui ont déjà disparu après la fourniture de sable à Singapour... A Mumbaï, en Inde, à force de menaces, de chantages et de meurtres, la mafia du sable est devenue l'organisation criminelle la plus puissante du pays avec 8000 sites illégaux d'extraction, entrainant corruption de l'administration et des services publics... Dans l'archipel surpeuplé des Maldives, plusieurs atolls sont menacés de disparition... Aux Etats-Unis, 80 000 barrages retiennent les alluvions et les sables des cours d'eau qui devraient naturellement compenser l'érosion des côtes... En Floride et en Caroline du nord, certaines plages ont définitivement disparu... En Bretagne, les pêcheurs sont menacés par des promoteurs sans scrupules...

Des solutions existent afin d'éviter une catastrophe annoncée : choix de matériaux de construction autres que le béton, recyclage du verre en granulats, information du public, décisions prises par les Etats et les pouvoirs publics,nouvelles technologies, aménagement urbain, éco-constructions, réforme fiscale écologique, régimes alimentaires moins riches en viande, prise en compte du cycle de vie des produits, etc..  Allons-nous continuer longtemps la politique de l'autruche ?


"Le sable n'est pas une ressource durable".

 

 

boule de cristal !!!!!

je vois, je vois, je vois, ...... Zut la même chose que sur la route !!!

On nous aurait menti !!!!!!

ps : entrée du site de la carrière !

dimanche 18 août 2013

ECOLOGIE : DES MINISTRES DONNENT L’ALARME

Ils estiment que "sans une évolution rapide" du système productif, "l'accès aux ressources sera cause de conflits et d'inégalités".

Cécile Duflot (ministre du Logement), Philippe Martin (Écologie), Stéphane Le Foll (Agriculture) et Pascal Canfin (Développement) signent dans le Journal du dimanche une lettre demandant l'accélération de la transition écologique. Dans ce texte rédigé à l'occasion du séminaire de rentrée de lundi consacré à la France en 2025, ils estiment que "sans une évolution rapide" du système productif actuel, "l'accès aux ressources sera cause de conflits et d'inégalités nouvelles".

"La question n'est donc désormais plus de savoir si nous allons faire face à la mutation écologique ou non, mais bien si nous souhaitons la conduire ou la subir", disent-ils. "En 2025, la France devra avoir relevé le défi de la transition écologique et prioritairement celui de la transition énergétique", ajoutent-ils. "Cette économie écologique pourrait s'articuler autour de trois objectifs majeurs : la prospérité, la soutenabilité et la solidarité", disent-ils.

Selon les quatre ministres, "la prospérité durable permettra de créer des emplois et de réduire les dépenses contraintes des ménages". "En engageant dès aujourd'hui la transition des filières industrielles et du tissu économique, il est possible de créer d'ici à 2025 un million d'emplois dans la transition écologique".

Des économies d'énergie

Sur la question du pouvoir d'achat, ils jugent aussi que "réduire les factures d'énergie, de logement ou de transport est un objectif atteignable par une mobilisation des pouvoirs publics et un pacte avec les acteurs sociaux". Ainsi pour une grande partie des Français "une rénovation thermique efficace couplée à une meilleure gestion de l'énergie, c'est de 50 à 250 euros d'économies par mois possibles suivant les situations".

La soutenabilité exige pour sa part de "ne pas sacrifier ce projet collectif sur l'autel d'une vision datée de l'activité économique". "Les gaz de schiste, comme les OGM, procèdent d'une même fonction et induisent un même risque : ils permettent à certaines industries de garantir leurs perspectives financières, mais peuvent, par le seul déploiement, mettre en péril l'ensemble des autres activités humaines qui les entourent". "À l'inverse, la soutenabilité est source d'une nouvelle vague d'innovations technologiques mises au service de tous", poursuivent-ils.

Enfin "la condition impérative de la réussite d'une telle transition est de garantir à chacune et à chacun un égal accès aux biens communs : un haut niveau d'éducation et de santé, bien sûr, mais aussi un meilleur accès aux technologies, aux savoirs et au patrimoine naturel".

Le Point.fr - Publié le 18/08/2013

vendredi 9 août 2013

VIDÉO. "Le déclin des papillons est le signal d'alarme de la nature"


Publié le 09 août 2013 à 07h37 



En Europe, le nombre de papillons a diminué de moitié en vingt ans, selon une étude de l'Agence européenne pour l'environnement. En cause : l'agriculture intensive et le recul des prairies. La disparition des lépidoptères, espèce particulièrement sensible à la modification de son habitat, est "un phénomène grave qui doit nous alerter sur la dégradation des écosystèmes", estime Jean-Philippe Siblet, directeur du service patrimoine naturel au Muséum national d'histoire naturelle. Le Point.fr l'a interrogé.

Le Point.fr : Un rapport de l'Agence européenne pour l'environnement indique qu'en Europe, le nombre de papillons a diminué de moitié en vingt ans. Est-ce la fin des lépidoptères ?


Jean-Philippe Siblet : Non, il y aura encore des papillons pendant longtemps, car on parle de populations très nombreuses. En revanche, quelles espèces résisteront et pendant combien de temps ? Cela, on ne le sait pas. Certaines d'entre elles, qui étaient très communes dans les années 60, sont désormais très rares : c'est presque un événement quand on en trouve un spécimen. Les papillons que l'on voit sont ceux qui ont réussi à s'adapter. Le jour où il n'y en aura plus, la Terre sera dans un état lamentable et il sera trop tard pour s'en inquiéter. Mais l'avenir n'est pas très radieux.






Les résultats de cette étude européenne constituent-ils une surprise ?

Les amateurs de papillons se sont rendu compte depuis longtemps qu'on en voit de moins en moins. Le rapport a le mérite de proposer des données actualisées et de mettre en lumière cette diminution qui est continue depuis trente ans. À la montagne et dans les forêts, les papillons sont encore nombreux, mais il n'y en a pratiquement plus dans les zones agricoles. Ce sont des espèces très sensibles à la modification de leur habitat. C'est d'autant plus vrai pour les espèces "spécialistes" qui vivent dans des milieux naturels très particuliers comme les tourbières, les prairies humides, les alpages, qui disparaissent peu à peu sous l'action de l'homme. La chenille du papillon est souvent liée à une ou à quelques espèces végétales et si l'on perturbe cet environnement et donc ces plantes, l'espèce animale est menacée. Certains papillons s'adaptent, d'autres non....

Quelles sont les causes de cette régression massive ?

Il existe deux causes principales : la simplification de paysages ruraux et l'usage des pesticides. Auparavant, la campagne était composée de différentes parcelles, petites ou grandes, séparées par des haies, des fossés, avec des zones humides, des mares. Mais l'arrivée de l'agriculture intensive a modifié le paysage. Les parcelles sont devenues plus grandes, les fossés ont été comblés, les zones humides drainées. En conséquence, les espèces végétales qui étaient liées à ces milieux ont disparu et les papillons, les chenilles dont c'était l'habitat et la nourriture ont disparu également. Si bien que, même si cela peut paraître paradoxal, les papillons sont plus nombreux dans les zones périurbaines qu'en pleine campagne où l'agriculture est intensive. La deuxième cause du déclin des lépidoptères est l'utilisation massive de pesticides et plus particulièrement d'insecticides qui tuent tout : chenilles et papillons.

Quelles sont les conséquences pour l'homme et pour la planète ?

Le déclin des papillons a d'abord une conséquence directe sur la pollinisation. Comme les abeilles et d'autres insectes, le papillon joue un rôle très important pour la pollinisation des arbres fruitiers et de toute sorte de végétaux. Mais surtout, il est un excellent indicateur de la qualité des écosystèmes. Le déclin des papillons nous montre que des habitats disparaissent. Ce phénomène est particulièrement préoccupant, car c'est un très mauvais signal de l'état de santé de la nature. Il montre que la qualité des écosystèmes diminue. C'est le signal d'alarme de la nature pour nous dire que la situation est délicate. Il faut prendre en compte cette alerte car notre propre pérennité est en jeu. La biodiversité est le tissu vivant de la nature. Aujourd'hui, son maintien doit être une priorité. Et le déclin des papillons est avant tout un révélateur de cela.

Qui aura le plus de poids dans notre combat ? la Lucine, papillon unique en Sarthe, symbole de la richesse de la biodiversité locale, ou les quelques deniers escomptés d’exploitants de carrières et forestiers ?


Forêts


Les forêts sont les plus importantes réserves de diversité biologique terrestre. Les forêts tropicales, tempérées et boréales offrent des habitats très divers aux végétaux, aux animaux et aux microorganismes.

La diversité biologique est à la base d’un large éventail de biens et services fournis par les forêts. La variété des arbres et arbustes forestiers joue un rôle prépondérant dans la vie quotidienne des communautés rurales de nombreuses régions car ces espèces sont des sources de produits ligneux et non ligneux, contribuent à la conservation du sol et de l’eau, et sont le réceptacle de valeurs esthétiques, éthiques, culturelles et religieuses. Les animaux des forêts, essentiels à de nombreuses personnes en matière de nutrition et de revenus, sont tout aussi vitaux pour l’écologie forestière, notamment la pollinisation, la prédation, la dispersion et la germination des graines, et la prédation à l’égard d’éventuelles espèces nuisibles.

La diversité biologique forestière est l’un des sept éléments thématiques du concept de gestion durable des forêts approuvé par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2007, parallèlement à l’instrument juridiquement non contraignant concernant tous les types de forêts.

La perte de diversité forestière réduit l’éventail des médicaments, des denrées alimentaires, des matières premières et des débouchés professionnels – autrement dit, elle compromet le bien-être.

Les forêts représentent plus de 10 pour cent du PIB dans de nombreux pays parmi les plus pauvres. On estime que le secteur de la foresterie fournit 10 millions d’emplois officiels et 30 à 50 millions d’emplois informels dans les pays en développement. Malgré ce rôle non négligeable dans l’économie mondiale, la progression vers une gestion durable des forêts reste limitée. Par ailleurs, le recul et la dégradation des forêts se poursuivent dans de nombreux pays en développement. La perte de diversité forestière réduit l’éventail des médicaments, des denrées alimentaires, des matières premières et des débouchés professionnels – autrement dit, elle compromet le bien-être. Le Programme forestier de la FAO est axé sur les moyens de maximiser le potentiel des forêts, des arbres et des ressources connexes en vue d’améliorer les conditions économiques, sociales et environnementales tout en veillant à la conservation des ressources afin de satisfaire les besoins des générations futures.
Le travail de la FAO vise à améliorer les connaissances en matière de gestion durable des forêts et des espèces sauvages, et à concourir à l’élaboration et à la mise en œuvre de politiques et pratiques appropriées afin d’assurer la protection des forêts et des espèces sauvages pour maintenir ou améliorer leur capacité de fournir des produits ligneux et non ligneux, de préserver les populations animales et végétales, de conserver la biodiversité, de sauvegarder les habitats des espèces sauvages, d’atténuer le changement climatique et de protéger les sols et les bassins hydrographiques.



jeudi 1 août 2013

Commentaires de la premiere pétition

Eric - La fontaine saint martin : 
Je m?oppose à ce projet, source de nuisances et de risques pour la sécurité des habitants. Merci à tous ceux qui soutiendront cette pétition.

Alban - Clermont - créans : 
N'y aurait-il pas suffisamment de sable ailleurs? Et bien sûr on ne se préoccupe pas de la qualité de vie des foyers environnants... Alban.

Jean claude - Mézeray : 
La commune de Mézeray est concernée dans la partie nord de ce projet. L'activité randonnée y est développée de manière importante. Le bruit de cette carrière enlèverait tout le charme de ces chemins reconnus et labelisés.

Bernadette - Charrin : 
décidemment la quiètude du monde rural en gène plus d'un! je signe votre pétition car il faut absolument préserver notre patrimoine rural.

Véronique -  : 
En soutien aux riverains et habitants...

yaya - La fontaine st martin : 
danger pour nos enfants qui vont à l'école à pied sur la RD8 poussière ,bruit , perte de la valeur immobilière de nos maisons pour quelques petits "bourgeois " de Paris qui s'en foutent de notre village .... souhaitons que notre combat ne soit pas vain et que la raison gagne

Véronique - Le lude : 
Préservons la sécurité et l'environnement ... Des camions sur le chemin de l'école ? , en espérant que l'on n'attende pas un accident pour ouvrir les yeux sur l'insécurité que ce trafic pourrait générer.

Laure - Mezeray : 
Pensez à nos enfants et leur avenir, merci

Philippe - Cerans foulletourte :
 Non à la sablière de La Fontaine Saint Martin

Catherine - Plumeliau : 
De tout coeur avec celles et ceux qui se battent contre une telle hérésie !! Cat

Roger - Cerans-foulletourte : 
En souhaitant que cette pétition face mentir la fable du "pot de fer contre le pot de terre"

Marie-claude - Chigné : 
non à cette carrière pour la securité et le cadre de vie de mes petits enfants une mamie inquiete.

Manuel - Le mans : 
Pour que l'environnement et la santé du petit peuple prennent le pas sur le portefeuille de businessman sans état d?âme

Gilbert - Boulogne-sur-mer : 
Merci à tous les gens qui apporteront leur soutien afin qu?un tel projet ne voie jamais le jour, il est du devoir de chaque citoyen de protéger sa santé et son environnement, pour que la Fontaine Saint Martin ne devienne pas une fontaine de sable.

Christian - Valcourt : 
Il y a des projets qui sont réellement marqués par la démence et l'inconscience écologique!!!

Annie - Mareil sur loir : 
Monsieur le Préfet, A l'époque de la protection de l'environnement, de la qualité de vie, il parait absolument nécessaire de préserver en totalité le calme, la pureté de l'air, des sols, la forêt poumon de notre terre en abandonnant définitivement ce projet d'éventrer la terre par cette idée de Carrière à la Fontaine St Martin.

Stéphane - La fontaine st martin : 
Non à cette carrière - Bon courage à tous

Laurent - Artheze : 
Pour la préservation et la sauvegarde des sentiers  et de la biodiversité des circuits de randonnée sur la commune de Mèzeray,  une force touristique et locale indéniable...

Odile - La celle st avant : 
Préservons notre environnement pour nos enfants et petits enfants bon courage

Yasmine - Courcelles la foret : 
ne pas laisser notre nature a l industrie

Julie - La fontaine st martin : 
Merci pour votre engagement à préserver notre environnement! Je vais en parler le plus possible autour de moi! En espérant que nous serons entendus

Joseph - Cournonterral : 
c'est affreux cette course en France à la destruction de terres, de bois pour des considération d'un Seul qui va s'en mettre plein les poches sous prétexte d'emplois qui ne seront même pas pérennes. Mais bon sang il faut raisonner sur l'Avenir, l'Avenir de nos Enfants, de Notre Terre . Développer le Tourisme, Développer l'agriculture sous toutes ses formes pour entretenir de l'emploi mais pas des Solutions de Destruction de notre patrimoine.

Isabelle - Mezeray : 
Pour que quelques un fassent du profit, nous devrions nous faire empoisonner ! Ce n'est pas juste nous n'avons rien à y gagner nous !

Jerome - La fontaine st martin : 
Non a cette aberration !

Pascal - Yvre le polin : 
Trop de camion, trop de vibrasion, trop de bruit !!!!!

Marc - Le mans : 
nn il y a deja assez de trafic comme sa deja trop de polution

Gaelle - Oize : 
Quel projet complètement stupide a cet endroit là, c'est un projet juste financier, ca va rapporter un max a ceux qui disent oui, Mais ca bien sur personnes va le dire,  ben voyons,  ce qui mène le monde aujourd'hui c'est l'argent la nature on s'en fou!!!!encore dévaster un endroit de foret, abattre des arbres détruire la nature et pollué c'est tous ce que font les hommes en cravates pauvre France! Je sais bien qu'il faut des endroits pour exploiter mais pas là ca n'a aucun sens sauf de detruire un endroit juste magnifique, voir cette belle foret sentir l'odeur de ces arbres a chaque saison c'est une honte a tous ceux qui disent oui ce n'est pas du tout le LIEUX je suis indignée

Jean-yves - Mézeray : 
la cavalerie Professionnel du tourisme équestre sur Mézeray non a cette carrière qui va stigmatiser cette nature seul vrais source d'emploie  15 ans que l'ont développe le tourisme sur Mézeray et ses environs,économie durable et local notre entreprise compte 2 emploies merci

Encore merci à vous pour votre soutient
l'association