Nous nous trouvons dans une
période charnière pour le climat avec des émissions de carbone record. Dans de
nombreux pays d’Amérique du sud et d’Asie entre autres, les forêts continuent à
être rasées par une industrialisation sauvage sans foi ni loi, détruisant les
habitats des animaux et laissant les populations orphelines de leurs forêts et
de leurs moyens de subsistances, engendrant une pollution continue et
irréversible pour le monde entier, dont une des préoccupations essentielles est
d’échanger des crédits carbone pour polluer toujours plus.
Ne serait-ce que par solidarité
pour ces populations dépouillées par les grandes firmes internationales, qui
n’ont d’autre choix que de subir cette destruction et pollution massive
notamment à cause des gouvernants complices, elevons nos voix contre les atteintes
industrielles à la forêt dont la préservation va conditionner la survie de
toutes les espèces, la nôtre compris.
Osons croire que tous les acteurs
de la vie publique ne considèrent pas leurs départements comme des poubelles
offertes à l’industrie, mais envisagent comme une chance et une priorité de
préserver les richesses forestières existantes, essentielles dans des régions
comme les Pays de la Loire pauvres en étendues forestières, et de participer
aux enjeux de la réduction des émissions de carbone.
Une atteinte à la forêt est une
blessure dont elle ne se remet jamais, ses habitants non plus.
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